QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Les prix du pétrole se sont à peine stabilisés jeudi au cours d’une séance volatile après la chute des cours de la veille qui les a menés à leur plus bas niveau en cinq mois.

L’abondance de l’offre est un autre facteur qui préoccupe actuellement les négociants en pétrole, notant que les stocks de produits pétroliers ont augmenté la semaine dernière aux Etats Unis, mais la demande d’essence  n’est pas aussi bonne qu’attendu, ce qui va se répercuter bientôt sur l’activité des raffineries.

Le marché reste ainsi toujours sceptique face à la promesse de membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de ses alliés de l’alliance OPEP+  de nouvelles coupes conjuguées de 900.000 barils par jour, en net, de janvier à mars prochains.

 

 

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Le prix du baril de West Texas Intermediate (WTI), variété de référence américaine, a clôturé mercredi sous 70 dollars, une première depuis cinq mois, sur un marché incapable de trouver matière à un rebond, après une semaine de chute.

Depuis les annonces de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de ses alliés de l’alliance OPEP+ jeudi, le WTI reste sur cinq séances de baisses consécutives et a lâché près de 9%.

Outre les doutes concernant les engagements pris à l’issue de la réunion ministérielle de l’OPEP+, la crainte s’accentue de voir les Saoudiens ouvrir les vannes, par dépit et pour éviter de perdre davantage de parts de marché.

Ils ont, en mémoire, l’épisode de 2014, lors duquel l’Arabie Saoudite avait décidé d’inonder le marché, notamment pour contrer l’émergence des Etats unis et le boom du pétrole de schiste. Le prix du WTI avait fini par tomber à 26 dollars, début 2016.

La dégradation de la conjoncture se manifeste aussi aux Etats Unis, où le secteur privé n’a créé que 103.000 emplois au mois de novembre. Ce mauvais chiffre a encore accentué le repli de l’or noir.

On attendait un signal de la demande, et nous ne l’avons pas eu, ca a bousculé les opérateurs positionnés à la hausse et entraîné encore plus de ventes.

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Le West Texas Intermediate (WTI), variété de référence américaine, a terminé, mardi, à son plus bas niveau en clôture depuis cinq mois, dans un marché qui doute des nouveaux engagements du cartel Opep+ et s’inquiète de la demande.

C’est la quatrième séance négative d’affilée pour l’or noir depuis les annonces de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de ses alliés de l’accord OPEP +. Le WTI a perdu plus de 7% en moins d’une semaine.

A court terme, l’OPEP a perdu une partie de son pouvoir de fixer les prix car le marché a complètement ignoré leur réunion de jeudi dernier.

Une évolution du rapport de force entre OPEP+et le reste des grands pays producteurs, en particulier les Etats Unis, dont la production se situe actuellement à un niveau record, tandis que des flux supplémentaires sont venus du Brésil et du Guyana.

Donc la direction que prennent les cours va dépendre des anticipations du marché quant à la demande, et si la croissance des besoins va se matérialiser.

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Les cours du pétrole ont enchaîné lundi une troisième séance de baisse consécutive depuis l’annonce de nouvelles coupes de production par l’Opep+, une réaction qui complique la situation pour le cartel, dont les munitions s’amenuisent.

L’alliance a pourtant promis de réduire encore ses volumes de 900.000 barils par jour (bpj) en net de janvier à mars, ce qui porte à près de 6 millions de bpj la contraction depuis octobre 2022, soit plus de 5% de la production mondiale.

Au-delà des sept pays prêts à des coupes supplémentaires, l’Angola a d’ores et déjà indiqué qu’il ne se plierait pas au quota qui lui a été assigné.

Tandis que l’OPEP+ restreint sa production, les Etats-Unis sont à un record absolu (13,2 millions), de même que le Brésil, alors que l’Iran est au plus haut depuis cinq ans et le Nigeria en pleine accélération.

 

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Le président brésilien Lula a confirmé samedi à Dubaï que son pays allait rejoindre l’Opep+, dans le but de convaincre les principaux pays producteurs de pétrole de préparer la transition énergétique sans combustibles fossiles.

L’adhésion doit avoir lieu en janvier.

Plus important producteur de pétrole d’Amérique latine, avec notamment de vastes réserves dans des gisements offshore pré-salifères, le Brésil a affiché en septembre une production de brut de 3,7 millions de barils par jour  soit une hausse de près de 17% sur un an.

Les nouvelles réductions de production de brut annoncées par certains pays exportateurs de l’Opep+ ont été accueillies avec scepticisme par le marché du pétrole et n’ont pas eu l’effet escompté sur les cours qui ont encore baissé.

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Les cours du pétrole ont pris encore de la hauteur lundi, après un premier sursaut vendredi, sur un marché aux volumes faibles, qui s’attend à voir l’Opep+ rester offensive lors de sa prochaine réunion, dimanche, pour soutenir les prix.

On s’attend à ce que Russie et Arabie Saoudite prolongent leurs coupes de production assez longtemps en 2024, mais d’autres réductions, jusqu’à un million de barils par jour, pourraient s’y ajouter.

Le coup de chaud du pétrole, lundi, est partiellement dû aux faibles volumes d’échanges, faute d’intervenants sur un marché déjà clairsemé avant le jour férié de Thanksgiving, jeudi.

Il n’y aura pas de cotation pour l’or noir sur la Bourse de Chicago (CME) ce jour-là, le marché ne reprenant que pour une séance écourtée, vendredi.

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Les cours du pétrole se sont repris vendredi après leur forte chute de la veille, l’attention du marché se portant désormais sur l’Opep+, qui se réunit cette semaine  et qui pourrait intervenir pour enrayer la baisse des prix.

Vendredi on a assisté à des achats de couverture alors que les prix sont tombés à un niveau très bas.

L’OPOP, tout en maintenant ses réductions volontaires de production, pourrait commencer à réfléchir à des réductions supplémentaires afin de soutenir les prix.

La question se pose de savoir si l’Arabie Saoudite doit porter le fardeau seule (avec seulement un peu d’aide de la Russie) en amputant encore sa production, ou si elle pourrait exiger de certains autres membres de l’OPEP qu’ils se joignent à elle pour réguler le marché.

La prochaine réunion ministérielle des membres de l’OPEP est prévue le 26 novembre à Vienne, siège de l’alliance.

 

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Les prix du pétrole sont un peu remontés jeudi, après être tombés à leurs plus bas niveaux depuis juillet la veille, le marché misant sur une prolongation des coupes de l’Opep+ tandis que l’Arabie Saoudite a accusé les spéculateurs de faire baisser les cours du brut.

Vu la chute des cours du brut ces dernières semaines, qui sont passés sous les 80 dollars le baril, le marché s’attend maintenant à ce que l’Arabie saoudite continue ses coupes de production jusqu’à la fin de l’année et peut-être jusqu’au début de l’année prochaine.

La prochaine réunion ministérielle des membres de l’OPEP est prévue le 26 novembre à Vienne, siège de l’alliance.

 

 

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Les prix du pétrole sont remontés légèrement lundi, après que l’Arabie saoudite et la Russie ont réaffirmé leurs baisses de production et d’exportation de brut jusqu’à la fin de l’année.

Les cours de l’or noir ont aussi été favorisés par le repli du dollar alors que le pétrole s’échange en dollar et qu’une baisse du billet vert rend le baril meilleur marché.

La Russie poursuivra une réduction volontaire déjà annoncée de 300.000 barils par jour de l’offre de pétrole et de produits pétroliers sur les marchés mondiaux.

L’Arabie saoudite a quant à elle confirmé dans une déclaration séparée sa coupe de production d’un million de barils par jour.

Ces décisions complètent les baisses instaurées depuis début mai et en vigueur jusqu’à fin 2024 par neuf pays, dont Riyad, Moscou, Bagdad ou encore Dubaï, pour un total de 1,6 million de barils quotidiens.

 

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE MONDE :

Les cours du pétrole ont chuté, vendredi, sur un marché qui n’anticipe pas d’extension de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, tandis que des indicateurs américains font craindre un essoufflement de la consommation.

La déprime du pétrole pourrait inciter l’Arabie Soudite et la Russie à prolonger les restrictions de leurs volumes pour soutenir les prix de l’or noir.

Les prix du pétrole ont légèrement augmenté lundi, l’arabie saoudite et la russie, principaux exportateurs, ayant déclaré qu’elles s’en tiendraient à des réductions volontaires supplémentaires de la production de pétrole jusqu’à la fin de l’année, ce qui maintiendrait l’offre sous pression, tandis que les investisseurs s’attendent à un durcissement des sanctions américaines contre le pétrole iranien.